lundi 22 février 2010

comment Séléné se sentait il y a quelques minutes...




Image tirée du film «Antichrist» de Lars Von Trier... Que je viens de voir... LE film le plus déstabilisant que j'ai vu de ma vie...

samedi 20 février 2010

Et voilà, maintenant je veux, j'obsède, j'ai besoin, j'aime et je ne vais pas mieux...

J'ai couché avec lui... Quelle merde je fais! Séléné, lorsqu'elle a besoin de réconfort, couche avec ses ex. Ce qui ne réconforte pas plus que le temps de la baise. Voila! Maintenant j'obsède, j'aime, je veux, j'ai besoin et je ne vais pas mieux. Séléné aurait vraiment besoin de quelques sessions chez le psychiatre pour découvrir ce qui ne va pas bien chez elle. Pas juste quelques sessions en fait, quelques années... J'aimerais comprendre un jour ce qui se passe dans cette tête pour me convaincre de me faire encore plus mal quand je ne vais déjà pas bien. Maintenant je suis encore plus mélangée. Comme je disais, j'obsède. Je ne sais plus comment agir et j'obsède. J'ai toujours envie de lui parler, de le voir, mais j'ose pas lui parler de peur qu'il pense que je vais lui courir après sans arrêt maintenant qu'il m'a baisé. Je ne sais pas comment il se sent lui et ça m'énerve. J'aimerais tellement savoir ce qu'il pense, comment il aimerait que j'agisse, ce qu'il faut que je fasse, dans le fond. Je ne sais pas s'il pense comme moi ou s'il se dit genre: «Yes! Je l'ai eu! Maintenant je sais que je peux avoir une baise facile quand j'en ai envie!» Mais je ne crois pas... Ce n'est pas son genre... C'est moi la conne qui l'ai convaincu de venir passer la nuit chez moi alors qu'il m'avait clairement parler de son envie. C'est moi qui lui ai dit que deux adultes consentants ça ne fait de mal à personne... J'ai juste oublié d'ajouter à part à moi...

jeudi 18 février 2010

Comment se sent Séléné, en se moment...


Photo prise par moi-même dans les everglades décembre 2009...

Un jour j'arrêterai d'aimer...

Encore une fois je ne dors pas... Il est 3h30 du matin et mes yeux refusent de fermer. Trop d'émotions encore. C'est toujours le trop plein d'émotions qui m'empêche... Et peut-être le café que j'ai pris après le souper de fête de mon papa. Ce soir, je me suis rendue compte que D., que je considérais comme mon meilleur ami (si je peux utiliser ce terme)... non en fait je dirais comme mon frère, en tout cas, un ami à moi que j'aimais vraiment beaucoup, à décider de sortir de ma vie. Tout à commencer il y a quelques mois, quand il a cessé de me donner des nouvelles. Je ne me suis pas trop inquiétée sur le coup, parce que c'est son genre de disparaître un mois et de revenir ensuite. Il a besoin de distance et je le comprend. Mais là ça fait 3 mois que j'ai pas eu de ses nouvelles et il ne retourne plus mes appels, ne répond plus a mes messages et est disparue de facebook aussi. Ok me direz-vous, facebook c'est pas la vie. C'est sure, mais il en est quand même disparu. Ce qui fait que je ne peux plus savoir s'il est en vie ou non et ça me tue. Parce que moi, quand j'aime, c'est pour toujours. Si tu es entré dans ma vie et que je t'y ai accepté, tu n'en sors pas si facilement, a moins de me faire beaucoup de mal. Et même à ça, je fini toujours par pardonner. Malheureusement, puisque des gens en ont profiter un peu trop parfois. Alors cet ami est disparu, il sort tranquillement et subtilement de ma vie et je ne sais pas pourquoi. Ça me fais paniquer. C'est une de mes plus grande peur, de perdre des gens sans savoir pourquoi et sans qu'ils meurent. Que quelqu'un de vivant s'en aille comme ça sans rien dire, sans que j'aie pu lui dire adieu. J'aime trop les gens pour les voir disparaitre, je crois. Je suis épuisée, physiquement et mentalement, mais j'arrive pas a dormir. Trop de choses se bousculent dans ma tête. Comme le retour de mon ex, B. dans ma vie. Il m'a fait beaucoup de mal, lui aussi, à l'époque, en me laissant poiroter 2 mois sans me donner de nouvelles, sans qu'on se voit, sans me dire s'il m'aimait encore ou pas. Il est revenu dans ma vie samedi passé. On n'avait rien à faire tous les deux alors je lui ai proposé d'aller prendre un café histoire de s'expliquer un peu. Il a accepté et on est aller prendre ce fameux café. Lorsqu'on s'est tanné d'être dans cette place où personne ne parlait français, il m'a reconduit chez moi. Je croyais qu'il retournerait chez lui, mais il est rentré avec moi. J'en étais étonnement heureuse, je n'avais pas envie qu'il parte. On a écouté un film de vampires super mauvais et le temps a passé. Très vite. Puis 3h du matin est arrivé et il m'a demandé à quelle heure je commençais le lendemain, afin de me reconduire à mon travail. Ce qui impliquais qu'il reste à coucher. Dans mon lit, puisqu'il trouve mon divan inconfortable. J'étais heureuse de ne pas dormir seule. Je hais être seule dans mon lit, pourtant je le suis tous les soirs. J'étais heureuse qu'il reste. Il ne s'est rien passé. C'était juste un peu étrange de dormir avec lui, sans pouvoir me coller. Il était toujours aussi adorable qu'avant quand il dort. Avec son petit nez... Et sa bouche... Mmm... Je sais pas comment j'ai fait pour pas lui sauter dessus... Par gène et par respect j'imagine. En tout cas, depuis cette nuit là que je repense à lui et ça me gosse. J'aime pas ça. J'aimerais mieux oublier tout ça et ne pas me faire d'idées. On est bien amis et je ne veux pas ressortir avec lui, je ne le connais pas! Ouais! On est sorti ensemble 3 mois (en fait 5 mais je soustrais toujours les 2 mois où on s'est pas vu...) et je ne le connais pas! Mais j'aimerais tellement réapprendre à le connaitre. Ahhh cette Sélé, incapable de vivre sans hommes. Je me sens trop seule, alors je ''tombe en amour'' avec tous les mecs qui me donnent un peu d'attention et qui sont de mon goût:( Un jour j'arrêterai d'aimer...

mardi 16 février 2010

Et moi j'aime...

Il est 1h36, je suis là, regardant l'écran, ne sachant que faire et me disant qu'il faudrait dormir, mais j'ai trop d'émotions qui s'entremêlent pour dormir. Ma tête tourne tellement je ne sais plus quoi penser. Je viens de me chicaner avec la gars que j'ai mis à la porte hier. Il me reproche d'avoir des crises de paniques à cause d'une agression dans mon passé. Il est fâché que je l'ai mis à la porte et m'en veut. Il a été trop loin en me disant à propos de l'agression: «Oui mais tu n'étais pas en état de dire oui ou non et le gars avait envie de sexe... Qui ne dit rien consent.» Mais quel con! Il s'est permit de juger ne sachant nullement ce qui s'était passé et de dire que j'avais consenti! Alors je suis super pompée... J'ai envie de frapper quelqu'un mais je ne le ferai pas parce que je ne suis pas violente... Et qu'il n'y a personne sur qui me défouler chez moi. Je suis aussi toute mélangée après avoir passé ma nuit de samedi à dimanche avec un de mes ex qui m'a fait beaucoup de mal dans le temps. Je lui avait proposer d'aller prendre un café, et quand il m'a reconduit chez moi, est sorti pour écouter un film et n'est pas reparti avant le lendemain matin. Il s'est, en quelque sorte, invité à coucher, mais j'en étais bien contente. On a régler nos problème! On a fait dodo dans le même lit et c'était étrange. D'autant plus qu'on a pas baiser. On ne s'est même pas collé. Moi, m'étant évidemment réveillée avant lui, comme toujours, je l'ai regarder dormir un bon moment. C'est l'homme le plus adorable du monde quand il dort. Il était là, dans mon lit, à dormir à moitié nu, comme si de rien n'était et il était adorable. J'ai recraqué pour celui que j'ai déjà aimer. Je ne l'aime plus, non, de toute façon je me suis rendue compte que je ne le connaissais pas du tout. Mais j'ai craquer. J'ai envie de passer du temps avec lui. Je sais pas... Ce jour là, je lui aurais sauter dessus carrément, mais je l'ai pas fait par respect. Respect pour moi, et pour lui. Mais putain que je lui aurais fait l'amour. Je sais plus quoi faire! Et se soir, pour faire exprès, l'amour pour l'autre ex que je n'ai jamais oublié refait surface. Je jase avec lui et je me dis putain ce mec est l'homme de ma vie et ça me tue. Tellement... Ça me tue parce qu'il ne m'aime pas... Et il ne m'aimera plus. Jamais... Va falloir que je me fasse à l'idée un jour, mais pour le moment j'y arrive pas. J'suis pathétique! Intense. Sélé a besoin d'amour. Besoin d'homme dans sa vie. Il faut que j'arrête de penser aux ex. C'est malsain. Mais j'en suis incapable. J'suis pas capable de sortir les gens de ma vie. Quand j'aime quelqu'un, je l'aime pour toujours. L'amour ça part pas comme ça. Si ça part, c'est que t'as pas aimé. En tout cas c'est s'que je pense. Si ça part, c'est que t'as beaucoup apprécier la personne et tout, mais tu l'aimais pas pour vrai. C'était pas le l'amour, c'était de l'amitié plus forte que les autres. Et moi, j'aime...

lundi 15 février 2010

Séléné n'est pas une salope

Finalement Sélé n'a pas fait de conneries!:P J'suis fière d'elle... Je me sens juste un peu mal envers cet ami que je viens de mettre dehors poliment en lui disant que c'était une mauvaise idée qu'il dorme chez moi ce soir... Il avait l'air très déçu mais j'ai été mal à l'aise toute la soirée. C'est vraiment le genre de gars super sympathique mais qui ne m'attire nullement. Ça m'aurait dégouté de coucher avec lui. Pas qu'il soit laid, mais parce que je le vois comme un ami simplement, un ami, que je ne connais pas beaucoup! Finalement Séléné n'est pas une salope. Elle ne couche qu'avec des hommes qui réussissent à la séduire d'une certaine façon. Enfin...

dimanche 14 février 2010

retour au passé

Séléné retourne dans son passé d'adolescente, je crois. Séléné la salope qu'elle s'appelait. Séléné la grosse conne prête a faire n'importe quoi pour de l'affection. Apres avoir passé la nuit dernière avec mon ex... (on a rien fait juré!)je vais surement passer celle-ci avec un vieil ami du cégep. Un mec pour qui je ne ressens absolument rien... Mais j'ai pas réussi a lui dire non quand il ma demander de passer la soirée avec lui, chez moi... J'espère juste qu'il ne s'attend a rien, parce que j'ai vraiment pas envie de coucher avec lui... Quoi que qui sait ce que Séléné peut faire... J'espère qu'elle ne fera pas trop de conneries.^^ J'ai peur. J'aime pas blesser les gens et j'ai peur de me blesser pour pas le blesser lui. C'est con! Vraiment... intense...J'ai pu envie du tout de le voir, mais j'ai même pas son numéro de téléphone pour lui dire de pas venir... Je déteste Séléné la salope.

mardi 9 février 2010

Pour toutes les fées...

Pour toutes les fées qui transforment les hommes en fleurs, et tous les hommes qui obligent ces fées à les transformer en fleur... Une petite pensée.
L'homme est une drôle de bête, je trouve. L'homme est vachement étrange. Impossible à comprendre (quand je parle de l'homme, je parle aussi des femmes... Je parle de l'espèce humaine en tant que tel), en tout cas assez difficile à cerner. Je ne sais pas trop où je veux en venir avec ce post... De toute façon je ne sais jamais où je veux en venir quand j'écris. C'est pour ça que je suis incapable d'écrire un roman. Je ne suis pas capable d'écrire quelque chose qui se tienne du début à la fin, je suis trop distraite, je fini toujours par oublier de quoi je parlais au départ. Comme là! Je parlais de la complexité de l'homme avec un grand H. Mais j'ai pas approfondi et je ne le ferai pas puisque je ne sais même plus pourquoi j'ai écris ça. Je voulais parler des fées qui transforment les hommes en fleur. Joli métaphore je trouve... Métaphore ou euphémisme, je ne sais trop.:( Mais bon. Je lis un peu trop de Pennac de ces temps si. Je le trouve génial cet homme. J'aimerais bien le rencontrer un jour, il écrit si bien. Il a encore son imagination d'enfant, comme le Petit Prince. On dirait qu'il n'a jamais vieilli dans sa tête, dans son imagination, quand on lit ses romans. Évidemment, mes préférés sont ceux sur la famille Malaussène, c'est d'ailleurs de l'un d'eux que je tire cette expression de fée qui transforme les hommes en fleurs. «La fée carabine» qu'il s'appelle. Un vieille dame tire dans un policier et l'enfant témoin de la scène, quand il la raconte à son frère, parle de fée qui a transformé un homme en fleur. Quelle innocence! Adorable innocence... Bon! Led zepplin vient de briser ma lancée littéraire sur l'innocence avec «All my love» ^^ Oui, c'est assez pour me déconcentrer! ahah! Je suis comme ça moi, petite Sélé la tête dans la Lune. C'est pas pour rien que je m'appelle Séléné!:P Mais je disais donc, Pennac, ce cher Daniel Pennac que j'aimerais tant rencontrer un jour pour comprendre toute cette cher innocence dans ses romans. Toutes ces choses graves, tel une vieille dame qui tue un policier, ou des bombes qui explosent, transformés en fées, en fleurs, en ogres... En se moment, une chanson de la trame sonore du «Fabuleux destin d'Amélie Poulin» vient de partir. Ça me rend nostalgique. Je ne sais pas de quoi, ni pourquoi, mais ça me rend nostalgique cette musique. Elle me donne à la fois une envie urgente de vivre et d'être le plus heureuse possible, et de pleurer toutes les larmes de mon corps, sans raisons particulières. Ma musique influence plus que beaucoup mes humeurs, mais je crois que c'est comme ça pour tout le monde, j'imagine. Elle influence aussi mon écriture. Je ne prétend d'ailleurs pas bien écrire. Je publie tout cela juste pour me faire croire que quelqu'un me lis et me comprend, je crois... Pour, tout simplement, avoir l'impression d'être moins seule avec moi-même dans ma tête.

Lui...

Un gars, une fille, un divan. La fille est couchée sur le divan, le gars par-dessus, il l’embrasse passionnément. Elle le tasse un peu, le regarde dans les yeux :

-Pourquoi moi?
-?
-Pourquoi tu reviens toujours à moi?
-??!?
-Pourquoi t’es là, sur moi, à me désirer comme si j’étais la femme la plus désirable sur terre? Pourquoi tu reviens toujours, semblant t’être rendu compte que t’es amoureux de moi depuis toujours?
-!?!?!?!?
-Pourquoi tu me baise, putain?
-Heu… J’sais pas?...
-La vérité.
-J’sais pas j’te dis…
-Moi je sais…
-?!?
-C’est parce que j’suis la seule à accepter hein?
-non…
-La vérité. Dis-moi honnêtement que c’est pas pour ça…
-ok… peut-être…
-Génial c’est tout s’que j’voulais savoir.

Elle lève la tête et l’embrasse. Il ne la repousse pas. Il la prend dans ses bras. Elle pleure un peu, une larme ou deux coulent sur sa joue. Il ne remarque pas. Il ne remarque jamais. Elle est en couple. Lui non. Son chum est parti au chalet avec son père. Elle voulait revoir son ami. Il avait envie de baiser. Ils s’étaient louer un film d’horreur nul, comme toujours. Ils ne l’avaient pas écouté jusqu’au bout, comme toujours. Il s’était jeté sur elle comme toujours. Elle avait pourtant pris des précautions cette fois si. Elle avait invité une amie pour écouter le film avec eux. L’amie était venu, avait écouté et était repartie. Elle avait espérer qu’il reparte avec l’amie. Non ce n’est pas vrai… Il avait été colleux même devant l’amie, qui s’était dépêchée de partir parce qu’elle se sentait de trop. Et Elle avait vraiment envie qu’Il reste. Elle voulait vraiment passer du temps avec Lui. Elle l’aimait. Elle avait un copain, mais Elle était folle amoureuse de Lui. Ce genre d’amour qui ne se détruit jamais. Ce genre d’amour qui vous fait faire n’importe quoi. Comme tromper son copain qu’on aime aussi follement, mais pas du même amour, alors même qu’on vient de se faire dire qu’Il nous prend seulement parce qu’on est la seule qui accepte. Donc : Elle lève la tête et l’embrasse. Il ne la repousse pas. Il la prend dans ses bras. Elle pleure, un peu, une larme ou deux coulent sur sa joue. Il ne remarque pas. Il l’embrasse, plus passionnément. Il la caresse. Le ventre, dessous le chandail, plus haut, pas les seins, pas tous de suite. Il l’embrasse de plus en plus passionnément. Elle le laisse faire. Elle l’embrasse aussi. Il descend dans son cou. Elle ferme les yeux. Elle gémit. Il aime ça. Elle sait qu’il aime ça. Elle le laisse faire. Un moment. Elle le repousse. Elle le regarde dans les yeux. Elle dit :
-J’ai un copain, il faut arrêter! (Elle ne le pense pas) Je ne veux pas le tromper, je l’aime! (Ça, Elle le pense)
-Mais tu le trompe déjà! Tant qu’à avoir commencé, autant mieux aller jusqu’au bout! (Il est bandé et n’a pas envie de se masturber seul dans les toilettes, ni de se calmer)
-Mais j’peux pas faire ça!
-Pour moi…
Il la regarde dans les yeux. De ce regard amoureux qu’Elle aime tant. Il sait qu’Elle aime ce regard. Qu’Elle croit que c’est de l’amour. Il obtient se qu’il veut. Il l’embrasse de nouveau. Elle se laisse faire. Elle y prend goût. Elle ne peut lui résister. Elle n’a jamais pu lui résister. Il la caresse de nouveau, lentement. Il monte sa main sous son chandail. Elle aime. Elle frémit. Elle a toujours aimé ses mains. Il le sait. Il l’embrasse. Il lève son chandail. Elle le laisse faire. Il lui enlève son chandail. Elle l’aide. Il la caresse de nouveau. Par dessus sa brassière. Il lui caresse les seins. Il aime ça. Il aime ses seins. Ils sont gros. C’est bien les grosses filles, elles ont souvent des gros seins. C’est proportionnel. Donc : Il lui caresse les seins. Il aime ça. Elle aime ça. Elle lui enlève son chandail. Il la laisse faire. Il lui propose la chambre. Elle accepte. Il sourit. Il a réussi à la convaincre, suffit qu’Elle ne change pas d’idée à la dernière minute. Elle se sent mal. Elle ne dit rien. Il se lève. Il lui tend la main. Elle la prend. Il l’aide à se lever. Il l’attire vers lui et l’embrasse. Elle l’embrasse à son tour. Elle détache son pantalon. Il l’enlève. Il lui enlève sa brassière. Elle enlève son pantalon. Il l’embrasse. Il lui caresse les seins. Il lui embrasse les seins. Ils marchent vers la chambre dans les bras l’un de l’autre en s’embrassant. Il la couche sur le lit. Il lui enlève sa petite culotte. Il enlève son boxer. Elle se place confortablement. Il s’installe sur elle. Il l’embrasse dans le coup, puis les seins. Il la caresse encore. Juste un peu. Pas beaucoup. Il la pénètre. Elle est heureuse. Elle se sent aimée. Il ne pense pas à Elle. Elle pense à lui. Il la baise. Elle lui fait l’amour. Il joui. Elle ne joui pas. Il se retire. Elle s’assoie. Il va aux toilettes et se rhabille. Elle se rhabille et va aux toilettes. Il lui dit :
-Je vais dormir sur le sofa, c’est mieux.
-C’est pour toi. Tu serais surement mieux dans le lit, mais c’est ton choix. (Elle espère qu’il dorme collé avec elle, au moins)
-Je préfère le divan
Il se couche. Elle aussi.
Le lendemain midi Elle le réveille. Elle doit bientôt aller rejoindre son amoureux qui revient du chalet. Il l’embrasse. Il la touche. Elle dit :
-J’aime mieux pas. Je me sens déjà super mal et je le vois tantôt.
-J’ai vraiment envie de toi!
-Je me sens trop mal, j’aurais jamais due faire ça, s’est pas moi. J’me suis toujours promis de lui être fidèle. Je l’aime. Vraiment. Je lui dirai jamais et n’en parle a personne non plus stp. J’ai peur qu’il le sache et me laisse, je l’aime trop.
-Et moi tu m’aimes?
-Oui, mais c’est pas la même chose.
Il la touche. Elle le repousse. Il l’embrasse. Elle l’embrasse. Il lui tient les hanches. Elle le laisse faire. Il remonte son chandail. Elle le repousse. Elle dit :
-J’ai dit non. Pas aujourd’hui.
-Allez… (Les yeux amoureux)
Elle baisse le regard :
-Non.
-Je vais m’en aller
-Bonne idée (Son visage s’assombri)
Il va vers la porte. Elle le suit. Il met ses souliers. Elle le regarde. Il la prend dans ses bras. Elle le laisse faire. Il l’embrasse sur le pas de la porte. Elle l’embrasse aussi. Il la lâche. Il se retourne. Il s’en va. Elle regarde le vide. Un moment. Elle ferme la porte. Elle pleure. En silence.

Essai de début de roman... date du 9 novembre 2009

On m’a toujours fait payer pour ce que je n’ai pas fait. Déjà, à peine née, on me faisait payer par l’absence stabilité le fait que je n’ai pas sauvé le couple de mes jeunes parents... J’ai été trainée d’une maison à l’autre, d’une personne à l’autre de jours en jours, jusqu’à ce que j’aie deux ans et qu’ils décident que s’en est assez. On m’a alors envoyée vivre avec mon père, sa nouvelle blonde et ses deux enfants. On m’a envoyé dans un foyer où tout était déjà établi, où j’ai due essayer, tant bien que mal, de m’intégrer, ce que je n’ai toujours pas l’impression d’avoir fait. J’ai toujours eu l’impression d’être le vilain petit canard de cette maison, celle qui n’y avait pas vraiment sa place. Ce n’est pas qu’on ne m’aimait pas, mon père m’a toujours aimé comme un fou, mais je suis arrivée là, avec mon propre bagage de petite fille malheureuse de tant d’instabilité, avec mes nerfs en boule, mes maux de cœurs récurrents et l’impression de les déranger dans leur nouvelle petite famille parfaite.
J’ai toujours été trop gentille à cause ce ça. J’avais l’impression de ne pas vraiment avoir ma place là, de toujours devoir être reconnaissante à ma belle-mère et ses enfants de m’avoir acceptée moi, pleine d’angoisse et de chagrin, dans leurs vies, alors j’étais trop gentille. Jamais je ne refusais quoi que ce soit. J’avais trop peur qu’on me rejette, qu’on me renvoi à l’instabilité de la maison de ma mère. J’ai donc toujours tout accepté sans me poser de questions. J’ai toujours tout aux autres ce qu’ils voulaient et toujours tout fait pour qu’on me trouve gentille, intelligente, digne d’être là. J’ai tellement toujours tout donné dans mon enfance, qu’après, quand j’osais dire non, on me prenait pour une égoïste et on me faisait sentir mal et terriblement méchante d’avoir osé vouloir garder pour moi quelque chose.
J’étais, comme je le suis encore, une enfant très anxieuse, mes nerfs sont fragiles et j’étais toujours malade et ça énervait beaucoup ma nouvelle famille qui ne comprenait pas ce qui se passait. Je ne me sentais pas bien, je n’étais à ma place nulle part alors j’étais malade.

Lorsque j’allais chez ma mère, la fin de semaine, je sentais qu’il y avait une certaine forme de jalousie de la part de ma belle-mère. Les enfants de ma belle-mère ne voyaient pas beaucoup leur père parce qu’il ne s’en occupait pas et je voyais bien que celle-ci était jalouse de la relation que j’avais avec mère et que ses propres enfants ne pouvaient avoir avec leur père. Ce n’était certainement pas ma faute, mais on me faisait sentir que j’étais chanceuse et que c’était presque désapprouvé que je la vois si souvent. Mon père n’a jamais rien dit, en fait il n’a surement jamais remarqué tout cela. Tout passait dans des remarques subtiles de ma belle-mère à mon endroit. C’est certain, ma mère qui ne me voyait que la fin de semaine et qui ne versait pas de pension alimentaire à mon père me gâtait beaucoup lorsque j’allais chez elle, elle m’offrait des cadeaux, me donnait ce que je voulais manger, on sortait. Elle profitait du temps qu’on pouvait passer ensemble, puisque la semaine elle avait son chum et son travail à l’imprimerie. Lorsque je revenais chez mon père, le dimanche, j’étais toujours inquiète de raconter ma fin de semaine ou de montrer mes cadeaux que, la plupart du temps, je m’arrangeais pour laisser là-bas, parce que je savais qu’on trouverait le moyen pour me faire sentir mal d’être si chanceuse de voir ma maman. Je savais que j’aurais droit à des remarques comme quoi j’étais gâté, que je changeais lorsque je revenais de là, que je devenais méchante et désobéissante. Pourtant je n’avais pas l’impression, moi, de changer d’une place à l’autre. J’étais pourtant très calme comme fille. Mon gros défaut était d’avoir tellement peur de décevoir que je n’étais jamais sure de ce qu’il fallait que je fasse, mais je suis encore comme ça aujourd’hui.
J’étais très proche de ma grand-mère maternelle et de son mari (qui n’était pas mon grand-père, mais pour moi c’était comme si, puisque mon grand-père était toujours parti en voyage quelque part sur la planète). J’étais toujours chez eux, ils me gâtaient beaucoup. On jouait ensemble, mon papi adoptif, si je peux m’exprimer ainsi, me construisait un magasin général dans son sous-sol, des scènes pour faire des spectacles. Ils m’achetaient des poupées à la tonne, des films, des livres. Je m’amusais beaucoup chez eux. Puis, un jour, ma mère m’a raconté que, lorsqu’elle était petite, mon papi la regardait se changer ou prendre sa douche en cachette et qu’elle avait essayé d’en parler mais que personne ne la croyait. Ça m’avait un peu déstabilisé mais j’aimais beaucoup cet homme et il ne m’avait rien fait, alors j’étais prise entre l’amour que j’avais pour lui et la parole de ma mère. Très peu de temps après ça, je n’ai plus eu le droit de revoir cet homme, parce qu’il avait tout avoué à ma mamie et qu’ils s’étaient séparés. J’en ai été tellement troublée, on m’a raconté tellement de choses sur cet homme à cet époque que j’en suis venu à en avoir peur. Je l’ai revu une seule fois depuis et c’est quelques semaines après la séparation. Il s’était présenté chez mon père pour me voir et mon père à accepté parce qu’il le respectait beaucoup et qu’il ne pouvait, et ne peut toujours pas, croire ce que tout le monde racontait à son sujet. J’étais tellement mal à l’aise, j’avais tellement peur, à cause de tout ce qu’on m’avait raconté que j’en ai eu mal au cœur toute la soirée suivant son départ. Puis, je ne l’ai jamais revu. Cela doit faire 12 ans et je me souviens encore très exactement de ce que l’on a fait la dernière fois que je l’ai vu en bon termes, chez ma mamie. Je me souviens de l’odeur de tabac qu’il ma fait sentir dans sa petite boite à côté de ses pipes, de la chanson qu’il ma fait jouer sur son tourne-disque «Quand on jouait à la marelle, cerisiers roses et pommiers blancs, J’ai crue mourir d’amour pour elle, en l’embrassant...» Cet homme me manque terriblement, parce qu’il a été très présent dans mon enfance, mais j’ai peur de le voir. J’ai peur de la chicane que cela causerait avec ma mère si elle l’apprenait. J’ai peur d’être déçue en le revoyant, vu l’image qui m’est restée de lui, de cet homme merveilleux avec moi, bon. J’ai peur, aussi, qu’il n’ait pas envie de me revoir, d’avoir à subir un deuxième deuil de cet être. J’ai vraiment vécu un deuil lorsqu’on m’a avisé, comme ça, qu’il n’était pas mort mais que je ne le reverrais plus jamais.

Lorsque j’ai eu 8 ans, mon grand-père paternel est décédé d’un cancer du colon après avoir été malade durant presque 2 ans. Il est mort chez lui, dans sa chambre. Il avait son lit d’hôpital et tout ce qui vient avec, ses enfants se relayaient pour le surveiller la nuit afin que ma grand-mère puisse dormir un peu. Lorsqu’il est décédé j’ai perdu une autre grosse partie de mon être. En plus de perdre mon grand-père que j’aimais profondément, j’ai perdu mon père tel que je le voyais. C’est à ce moment que j’ai su qu’il y avait un terrible problème dans nos gènes: l’alcoolisme. Mon grand-père paternel était un alcoolique qui avait réussi à arrêter de boire grâce aux alcooliques anonymes, alors il surveillait mon père de près quand il était vivant. Lorsqu’il est mort, mon père n’a eu plus personne pour le surveiller, pour l’empêcher de boire. Il buvait déjà beaucoup avant, mais là, il n’avait plus à se cacher, à avoir peur de mon grand-père, alors il a cessé de se cacher.
À 8 ans, j’étais encore jeune pour tout comprendre ce qui se passait, mais je me rendais compte qu’il y avait quelque chose qui ne tournait pas rond. Quelque chose me disait que ce ne devait pas être normal de boire autant tous les soirs, puisque ma belle-mère se fâchait contre mon père. Mais, comme il était trop saoul pour se rendre compte de quoi que se soit, on m’a désignée comme bouc émissaire. J’étais la seule qui n’était pas la vraie fille de ma belle-mère, même si elle dit qu’elle ne m’a pas portée mais que c’est tout comme. Cela à commencer vraiment lorsque je suis rentrée au secondaire. En tout cas c’est à ce moment que je m’en suis le plus aperçue. Lorsque mon père buvait, il disait à ma belle-mère et ses enfants que c’étaient des cons, ils les insultaient, parce qu’ils devenaient bête avec lui. Moi, je m’assoyais avec lui, je l’écoutais parler, alors il me disait qu’il m’aimait. Je crois qu’ils m’en voulaient pour l’amour qu’il disait me porter alors qu’il était saoul. J’aurais pourtant tellement aimé qu’il ne m’aime pas quand il était saoul, qu’il m’envoi promener comme les autres, pour ne pas avoir à subir leur mauvaise humeur, leurs remarques sarcastiques. Ça aurait été tellement moins compliqué. J’aurais pu le haïr moi aussi, j’aurais eu moins de problèmes. J’aurais pu détester cet homme tellement saoul qu’il était incapable de se lever de sa chaise pour aller se chercher une autre bière, incapable, même, de réussir à atteindre son verre du premier coup. Mais j’étais totalement incapable de le détester, totalement incapable. Je crois que j’étais la seule à le comprendre, à comprendre sa détresse. Il était tellement malheureux, là, enfermé dans sa cuisine, prisonnier des regards désapprobateurs de tous, sous l’emprise de sa soif toujours plus grandissante, à mesure qu’il buvait et qu’on le critiquait. En fait, je crois qu’il me faisait pitié. Je l’aimais du plus profond de moi même, bien sur, mais il me faisait pitié à voir, là, s’endormant quasiment, ayant de la misère à porter son verre à sa bouche, écoutant les cris de ma belle-mère sans pouvoir répliquer. Il semblait ne même plus comprendre un mot de ce qu’elle disait tellement il était saoul. Il était pris dans le cercle vicieux de l’alcool. Il était pris dans ce cercle où plus tu es mal dans ta peau, plus tu bois et plus tu bois, plus tu es mal dans ta peau.
À cause de ça, j’ai toujours eu une mauvaise relation à l’alcool. J’ai toujours eu peur de boire. En secondaire 5 je disais que j’étais surement alcoolique comme lui, qu’il ne fallait pas que je boive, mais je me suis tout de même mise à boire. Je ne bois par contre pas souvent. J’ai tout simplement de la misère à me contrôler lorsque je le fais. C’est comme si c’était tout ou rien. C’est rare que je boive une seule bière lorsque je sors... Si je bois, il faut absolument que je boive jusqu’à ne plus avoir d’argent, ou jusqu’à ce que je sois saoule. Alors, je ne sors pas beaucoup et je n’emmène pas beaucoup d’argent avec moi. Je n’aime pas sortir justement pour cette raison et mes amies me trouvent plate à cause de cela. Mais je ne crois pas qu’elles puissent comprendre ce que c’est que de ce battre avec cette envie et la peur d’être comme lui. J’ai terriblement peur d’être comme lui et de faire subir à mes enfants ce que j’ai subi. Toutes ces peurs, toutes ces fois où j’ai eu l’impression qu’il fallait que je m’occupe de lui, parce que personne d’autre ne le ferait, toutes les fois où je me suis dit que si je n’étais pas là il serait tellement seul. Le voir malheureux à ce point m’a tué... Et ça me tue toujours. Je n’habite plus chez lui, donc le problème est un peu plus loin de moi, je ne le vois pas saoul mort tous les vendredis soirs, mais je le vois encore boire. Je vois encore le visage de ma belle-mère lorsqu’elle le voit une bière à la main, je vois tous les reproches dans ses yeux, et mon père qui ne comprend pas pourquoi elle est si fâchée. Il ne fait rien de mal, selon lui. En effet, quand on y pense, il ne fait absolument rien de mal, il ne frappe personne, il n’insulte même plus personne depuis plusieurs années. Il ne fait que noyer dans la bière le fait qu’il est malheureux dans la vie, le fait qu’il est inquiet et qu’il ne peut pas réussir à nous offrir tout ce qu’il voudrait nous offrir. Cet homme nous aime tous tellement, je crois que personne ne peut aimer autant que lui sir cette terre, mais il est si mal avec lui-même, si déçu de certains choix qu’il a fait dans la vie et auxquels il ne peut plus rien changer qu’il est malheureux. Il est si incertain de lui-même qu’il est mal dans sa peau. Il a peur de décevoir les gens, il aimerait tellement tous nous offrir mer et monde, pour qu’on l’aime, mais il ne comprend pas qu’on l’aime. Je crois qu’il ne comprend pas que les gens l’aiment pour ce qu’il est, malgré les erreurs de son passé. C’est triste parce qu’il reste pris dans tout ça et rend tout le monde malheureux, surtout lui.

I wish I was special... You're so fucking special

Et voilà, avec ma tête pleine d'angoisse et de remise en question, j'ai pas encore pu dormir ce soir et ... devine quoi... t'es encore l'élu du texte du matin!^^ J'aime bien t'écrire quand j'ai pas dormi parce que, j'sais pas, on dirait que je peux tout te dire et que je sais que tu va lire ce que j'écris... Il est tard... ben... tôt, c'est west side qui joue! ^^ Comme toi hier...:P J'ai bien voulu me coucher, vers 2h j'me suis dit:« Sélé, là c'est l'heure du dodo si tu veux pas faire dodo toute la journée avant le travail demain et redéstabiliser ton système!» mais quand j'suis venue pour me coucher mon moustiquaire de ma chambre était un peu ouvert et là dans ma tête ça fait genre wtf qu'est c'que ça fait ouvert ca?!? Et la j'me dis que ce doit être mon chat et j'essaie de le refermer mais j'y arrive pas... je me couche donc déstabilisée et l'image du gars aux lego me reviens en tête... était-ce vraiment lui lundi soir a la crèmerie? Si oui est-ce un freak ou c’est juste une coïncidence bizarre? Alors j’me suis mise à avoir peur… Non pas des monstres sous mon lit, mais du mec au lego dans mon garde-robe! J’me suis mise à me sentir épiée et encore la j’me sens épiée mais ca c normal vu que je suis parano... mais ca m’empêche de dormir alors j’me suis lever pour allumer tous les appareils électroniques de ma maison ce qui (cherche moi pourquoi) me fait sentir mieux et plus en sécurité... je sais, je suis étrange parfois... Le fait est que j'ai pas encore dormi... encore une fois... et la je m'emmerde et j’ai besoin de parler a quelqu'un et comme je suis maintenant la seule a ne pas dormir la nuit ben j'me suis dit : «Mais pourquoi ne pas écrire a J!» J'ai pas d'idée de ce que j'ai envie de te dire particulièrement mais j'ai l'impression que ca va venir avec l'écriture de toute façon... genre écriture automatique mais plus ou moins structurée... c’est comme ca que j’écris de toute façon! :P pas de figure de style, pas de grands mots, juste de vrai! Ah ah!^^ « I want a perfect body, I want a perfect soul» Creep, encore! J’m’écœure jamais de cette chanson et je comprends pas pourquoi! J'espère que je vais pouvoir redormir seule bientôt parce que la j’ai vraiment trop peur du gars aux lego... j’pense que demain j'vais essayer de convaincre B. de venir dormir à la maison avec cette excuse, vu que j’ai congé vendredi et lui aussi... j’sais pas s’il va trouver ca bizarre ou accepter ou non mais je vais bien voir^^ «Your so fucking special, I wish I was special!» oh nouvelle chanson: «Laisse moi, avant que je m'en aille, rester m'étouffe et m'étouffera toujours, comme le mot amour...» J'aime tellement celle la aussi... Elle devrait t'aider, ou non dans ta remise en question, que je comprend pas d'ailleurs... Je comprend pas ce que tu veux dire par tout s’que tu me dis, trop de trucs détournés, j’suis pas bonne pour sauter aux conclusions toute seule... J’arrive jamais aux bonnes conclusions ou j’arrive jamais aux conclusions tout court...de toute façons on a un pacte sellé par un trop bon baiser... pas avant dans 5 ans à partir du 7 Juillet 2009... d'ici la on peut faire ce qu'on veux, coucher ensemble si tu veux, tant que tu veux, se coller, écouter des bons (ah ah ah) films en «amoureux» mais PAS oh non SURTOUT PAS ressortir ensemble... parce que ca peux pas marcher pour le moment ensemble... t'es pas prêt à t’engager ta besoin de vivre autre chose, l’engagement ca te fait paniquer... et moi je suis un peu envahissante (ben un peu... pas mal en fait je crois... trop pour toi...) alors faut travailler sur ca chacun de notre coté pour pas briser ce qu'on a déjà... moi je t'aime comme une folle et je m'excuse de te le répéter si souvent ces dernier jours... si tu veux plus que je le dise tu dit «Sélé cesse de dire que tu m'aime et oubli moi» et je vais faire semblant de t’avoir oublié sans problème... «can't let you go, I can't let you go...yet...» Ahhh cette Polly Scattergood, toujours les bons mots aux bons moments... Donc, avant qu'elle m'interrompe je disais... je t'aime comme une folle et je sais que si on flanche et qu'on ressort ensemble ca marchera encore pas vu que t'es pas prêt et moi non plus... alors ca va bien aller pour un petit bout mais ca va flancher et on va recommencer a s'engueuler pour des riens et on risque de gâcher toute notre relation merveilleuse pour de bon! :( ... « C’t’a cause de mon répondeur, y'absolument rien sa cassette, j’te dis qu'a soir dans mon p'tit cœur, y fait fret...» voit la belle play list que j’me suis faite... tout pour être heureuse… ca va surement grandement orienter tout ca... Je t'aime comme une criss de folle, même si on s’était dit qu’il fallait pas que ca change de quoi entre nous, on est cons, on aurait du savoir que ca changerais de quoi! Ça a même changé un peu de quoi pour toi! J’pensais que j’s’rais capable de passer a travers, j'pensais que j’t’avais oublié... ben... assez bien enfoui dans le fin fond de moi la mais ca a l’air que non... pourtant c’est pas comme si jetait pas habitué a tout ca! Hey bien way side est fini! il est maintenant 5h du matin et j’ai toujours aussi peur!:( J’me coucherai plus tard... en se moment j’aimerais tellement ca que miraculeusement tu te lève et décider daller sur msn... J’ai tellement envie de te parler... pour rien dire en fait «J't'un peu triste, j’classe mes photos en ordre chronologique, ca passe le temps j'voyage dans mes négatifs, la pluie l'hiver rend nostalgique» Ahh 3 gars Sul' sofa... c’est tellement bon mais déprimant quand tes seul... « Mais moi j't'ai vu fait que ca fait ma journée...» tellement vrai... j’trouve ca triste d’être retomber en amour avec toi a cause dune histoire qui était supposé être une baise d’un soir mais qui s’est transformée en nuit magique, tragique, jouissive, digne d'un film d'amour tragique... le temps s’arrêta et ils ne firent qu'un, a ce moment ils surent que toute leur vie ils s'aimeraient, mais qu'il ne pourraient jamais vivre ensemble «Je ne peux vivre sans toi, mais je ne peux vivre avec toi, toi tu peux très bien vivre sans moi je suis foutue dans les deux cas... I lost my baby, I lost my darling, I lost my friend, I lost my mind» «Where is my mind? » Jamais ca ne marcherais, pas pour le moment en tout cas, ils firent l’amour en silence, les yeux dans les yeux, les mains dans les mains et ils jouirent plusieurs fois, toujours en silence. Il s'aimèrent en silence, les larmes aux yeux (je le sais parce que j’ai sentie tes larmes couler quand j’ai dit non pour briser le pacte... au moment même ou j’ai dit non on peut pas faire ca j’ai sentie une grosse larme s’échapper de ton œil pour s’écrouler sur ma joue et glisser... comme si c’était moi qui l'avait versée... c’était vraiment spécial!) la tête pleine d'espoirs... espoirs qui devaient disparaitre avec le lever du soleil, le coucou du cadran qui sonna beaucoup trop tôt a leur gout... Ils s’aimèrent encore un peu se disant que ca ne pouvais pas faire de tort, qu'ils ne pouvaient tout de même pas changer leur vie et leur façons de penser pour quelques minutes d’amour de plus... mais trop tard! Tout était maintenant différent... tout avais changé... une remise en question s’était installée... (Plus que 1825 jours... j’ai calculer ! ah ah je suis un peu détraquée ce soir... j’ai envie de faire un décompte facebook mais je le ferai pas… quoi que ca pourrais être drôle... ah pis fuck off je le fais et je trouve une excuse no where! Ah ah! Au pire je me trouve trop sentimentale demain je ris de moi même et je le détruis! oui! Je le fais ah ah! J’me trouve ben drôle en se moment et j’ai envie de rajouter du tragique a la chose qui ne l'es plus autant… genre la fille tellement accro quelle compte les jours avant la fin des 5 ans!) Dans la tête de la jeune fille il se passait pleins de choses, dans son cœur encore plus... maintenant, un seul regard de son âme sœur et son cœur chavirait elle voulait pleurer et rire a la fois et ne savais pas a quoi s'attendre... l'aimait-il (il ne le savait pas lui même... elle disait oui, il disait je ne sais pas) l’avait-il déjà aimé? Le savait-il lui-même? Après ces 5 ans allaient-ils vraiment se retrouver? Ou tout serait fini? (Voila le count down est mis… Pathétique! Ah ah! J’me trouve déjà pathétique! J’ai décidé que j’ai pas le droit de l’enlever... pour me punir… Histoire de devoir mentir à tout le monde qui me demandera pourquoi y’a un count down sur ma page pour dans 5ans et pour me sentir pathétique chaque fois que j’ouvrirai facebook... c’est une punition pour être si pathétiquement pathétique et en passant il reste 1823 et non 1825 ah ah) Comment allait se passées ces 5 ans? Allaient-ils fléchir sous le poids de cette si grande attirance ou allaient-ils résister? Bon fini ce petit paragraphe d’histoire ca me tape sur les nerfs! Ah ah ! J’suis pu dans le mood... 2k tout c’que je sais là dedans c’est que je veux vivre de quoi d’autre... genre avec B. par exemple... j’suis sur qu’il va finir par finir par se passer de quoi entre nous... il peut pas être juste gentil là c’est intense ! J’suis sure que je peux vivre de quoi de beau et bien et bénéfique pour mon moi avec lui, et j’suis entrain de tomber en amour avec lui! Putain ca fait 1h que je t’écris et t’en a surement pour 400000 ans à lire ca!^^ c’est de plus en plus n’importe quoi! J’arrive pas à me sortir cette nuit la de ma tête... la plus belle et la plus horrible nuit de ma vie en même temps! C’était magique et tout et tout et putain que je tai aimer et putain que j’ai jamais été aussi satisfaite sexuellement que ce soir la et tout et tout et tout et putain que tes une bête!:P mais putain que ca fait mal faire ressortir tout se qu’on avait enfoui et ensuite se dire fuck faut que je vive avec!!! Et toi qui te remets en question! ca me rend triste parce que ca doit te torturer un peu comme moi mais je veux pas que tu te torture... j’aimerais tellement que ca soit facile pour toi! J’aimerais tellement que tu vives plus facilement et que tu sois capable de me dire: oui je t’aime ou non je ne t’aime pas... ca serais tellement plus simple... si tu m’aime on suit tous les 2 le décompte des jours qu’il reste avant que ca fasse 5 ans et sinon je reste pathétique dans mon coin et je m’arrange pour t’oublier... ca devrais pas être si difficile surtout que j’ai quelqu’un d’autre en tête!^^ ca sera surement pas pareil qu’avec toi mais c’est pareil avec personne! Mais c peux être vraiment bien! vraiment ! Il est parfait pour moi et en plus putain qu’il est sexe!!!!:P ah ah! 2k ma finir ca la parce que je suis pu assez déprimée pour écrire et que je dis des conneries parce que j’ai pu rien à sortir! A plus petit homme et pour une dernière fois dans cette lettre je t’aime comme une folle et ca me tue! !!!


Plus que toute a toi…

...

«Baise-moi encore, baise-moi encore pour fuir le monde...»
-Les Colocs, Pis si ô moins

Je ne t'aime plus... n'importe quoi!

Coucou, il est présentement 5h20 du matin, je prends le bus dans une heure pour travailler 8 à 5h et j’ai toujours pas dormis. J'en ai pas l'intention non plus... pendant que je fixais le vide de mon écran me cherchant quelque chose à faire et prêtane après aut une oreille presque attentive (pour l'attention qu'il me reste, si peu de sommeil en autant de temps) à Littoral qui joue depuis 45 minutes, tu t'es connecter... c'était vers 5h si je ne me trompe... je ne sais pas si c’était voulu ou si c’était un bogue mais bon. J'ai voulu me divertir et te dire coucou quand tu tes aussitôt déconnecté, mais, signe du destin ou non, y'avais le lien sur ton blogue dans ton sous nom... «Son ventre comme un Lune...» Je déprime un peu, mais je crois que c'est la fatigue, «Elle disait le bébé, ils disaient la mère», j'ai décidé de cliquer sur le lien, comme tu va pouvoir le voir, ou tu la déjà vu, j’ai laissé un commentaire. «Je vais te donner mon plus beau souvenir, c'était avec ta mère... sshhhhh sssshhhh», «j'veux pas que tu pense que j't'ai abandonné» musique arabe... J'ai donc été sur ton blogue et j'ai lu... c'est étrange... ou pas du tout en fait, mais j'crois que ta jamais aussi bien écrit (a mon humble avis de fille qui na pas de bac en littérature) que maintenant... tes textes sont tellement sentis, pleins d'émotions, et magnifiquement écrit. Si toutes les larmes de mon corps ne c'étaient pas écoulées dans la dernière semaine, j'aurais pleuré en lisant. Pas nécessairement parce que c'est triste «Yallah soba! Yalla!!! Regarde la caméra!» «Tous lui ont dit avorte, avorte!!! Moi aussi j'ai dit avorte!» «Mon ventre est a moi, ma vie est a moi, moi je t'ai rêvé, depuis que je suis toute petite comment j’aurais fait pour vivre sans toi...» mais parce que c'était émouvant, pleins de je ne sais pas quoi qui frappe qui oblige à vouloir lire le reste, qui captive, même quand j’ai pu d’attention « il sera toi, il sera moi, ton visage, mon visage, ton visage dans mon visage». Je sais pas j'avais envie de te dire tout ca, mais j’me suis dit que c'était pas bon à écrire dans un blogue publique. Je mets cette partie du film sur repeat, parce que dans l'fond c'est celle que j’aime le plus... sans arrêt je l’écoute, sans arrêt... Les moments parfaits... je sais plus... oui ce soir la c’était merveilleux, c’était parfait... comme pas mal toute la semaine qui a suivit... comme pas mal un long bout de notre relation... avant que je déménage. Avant que je sois seule et que je ne devienne envahissante... avant ca on était bien tous les deux. Mais c'est fini et plus jamais ca ne reviendra... Ce soir j'arrivais pas à dormir parce que mon cerveau a oublié que je ne t'aime plus, ma tête à oublié, et mon cœur aussi... mon corps et mon âme ont oubliés que je ne t’aime plus. Et ma tête, dans son habitude, essayait de trouver des solutions! J'avais beau lui dire d'arrêter, elle arrêtait jamais... «Je vais t'offrir ce que j'ai de mieux, mon plus beau souvenir» «C'était au temps ou ta mère se perdait dans mes yeux... l'avenir a nos pieds» elle essayait de trouver, de t'expliquer si, ca, si, ca, si, ca... ca marcherais comme ca et comme si et bla bla bla,... elle nous imaginait toujours et moi je voulais plus... C'est pour ca que je dors pas… Parce que je veux plus que ma tête nous imagine ensemble... 5h40, ca fait 20 minutes que je t’écris, et je vais surement continuer jusqu’à ce que je parte, je m’excuse... mais de toute façon t'es pas obliger de lire..«Wahad, tu vois, aujourd’hui tu as un an et je ne suis pas la...» alors j’ai fait taire ma tête en l'empêchant de penser... j’ai gossé sur facebook... j’ai gossé D. qui n'est vraiment pas d'un grand réconfort de ces temps si. J'lui ai pas dit pourquoi je dors pas, je sais pas pourquoi, je suis rendue que je lui cache des choses... c'est pas bon signe... Je l'aime pas D... je crois pas que je l’aime... c'est juste de l'amitié, j'ai juste besoin de bras pour me consoler, j'ai juste peur d'être seule, mais je l'aime pas D... je me suis rendue compte de ca! «Yallah soba! Yallah Yallah! Yallah soba!!» «Son ventre comme une lune… Son ventre comme une lune... Son ventre comme une lune... » La plus belle phrase au monde… « Ou la mère, ou l'enfant, les gens ont dit sacrifier l'enfant, moi j'ai dit garder l'enfant» Je l’aime pas vraiment et je déprime seulement parce que je suis seule. Je déteste les hommes parce que je suis seule et je sombre parce que je suis seule... mais ma tête elle ne veut pas comprendre ca! Elle veut pas comprendre que je t’aime pas... elle l'assimile pas... elle, elle assimile juste toutes les belles choses qui se sont passé pas les pas belles elle veut pas comprendre... mon cœur non plus... Je suis fatiguée mais je prends le bus dans genre moins d'une heure... Mmm... Je sais pas a quelle heure je vais le prendre finalement 6h22 ou 6h36, ca change pas grand chose, juste que je vais arriver plus tôt a la job, peut-être pouvoir déjeuner… mais je vais avoir mal au cœur. J'ai pas faim depuis un mois, j’ai jamais vraiment faim. Je mange parce qu'il le faut... et parce que j’ai des émotions. Je mange pour faire comprendre a ma tête de se taire... je crois que c'est pour ca que je dors pas beaucoup non plus. Mais je t’aime plus! Je te jure moi je t’aime plus... je veux plus ca fait trop mal... de toute façon ya longtemps que tu ne m'aime plus toi. Chanceux. J'aime la musique arabe, je trouve ca joli... ca m’apaise des fois. Aujourd’hui j’ai aussi redécouvert grand corps malade et le slam j’ai bien envie d'en écouter mais je sais pas... j’en ai pas... et trois gars Sul' sofa... oui ca, ca me rend heureuse... je crois… j’espère qui va en jouer demain a la job... ben tantôt en fait vu que je pars dans une demie heure. Oui... tantôt.... tantôt je vais voir D., je sais pas qu’est-ce que ma bouche va encore lui inventer pour que mon esprit soit en paix. J'ai peur... je sais pas ce que mes yeux vont dire non plus. Je veux pas le niaiser et je veux pas qu’il me niaise non plus. J'ai peur que ma bouche dise je t’aime parce que mon cœur dit pas ca lui, et ma tête dit juste au secours je comprends plus rien au secours aidez moi quelqu’un sortez moi de la! Comment je vais faire moi pour comprendre? Tu vois pourquoi je suis bizarre un peu des fois, ma tête et mon cœur et ma bouche et moi esprit se chicanent tout le temps ! Ils se chicanent parce qu'ils ne veulent pas la même chose...et ca me fait peur. Wow, il est déjà 5h56, le soleil commence à dire un peu coucou, la nuit à passer quand même vite je trouve. ca fait 30 minutes que je t’écris et j’ai toujours autant de choses à dire sans en avoir à dire je sais pas, je sais plus. «Tu voulais qu'on te dise quoi? Que ton père est un assassin, que ta mère est morte à cause de toi?» Mais je viens de relire le début du mail et je te parlais pas du tout de ca... jetait en train de te dire que je trouvais ca beau ce que tu écrivais maintenant, je trouve ca vraiment beau. Ca a l’air plus senti, plus personnel, je sais pas... on dirait que tu te force mais pas en même temps... et le mélange anglais et français, j’aime comme j’ai toujours aimé toujours...toujours toujours toujours.... j’aime le mélange de deux langues, point! Deux langues si une est français... c’est vraiment beau. Je prends le bus dans peu de temps et j’ai peu de ma journée... vais-je m’évanouir de fatigue ou tuer tous les gens du magasin? Tantôt C., vers 3h du matin s’est connecter, Il ma juste dit: je veut te voir alors j’ai dit quand? Alors il a dit là maintenant, tout de suite, immédiatement(en fait il a juste dit la, mais c’étais un là empreint de tous les autres mots avant) et la j’ai dit non tu sais toi moi plus camera c'est pas un bon mélange et il a dit stp je veux juste voir quelqu’un de vivant... ca ma inquiété... après que j’aie ouvert (et j'
était très décente et habillée) il a plus parler... j’ai fermé alors il a dit je vais fumer je reviens et il est revenu et a dit bonne nuit... ca m’inquiète… J’espère qu’il fera pas de connerie... il ma dit inquiète toi pas mais je m’inquiète quand même. Je m’inquiète toujours... toujours je m’inquiet pour les gens... et ca c’est pas bon pour ma tête non plus… j’espère que ca va marcher pour dimanche, j’ai très envie d’aller aux Tam Tam... si ca te tente toi ca me ferais tres plaisir... Jai juste envie d’un pic nik... un bon pain crouté avec viande froide et bon truc à boire, etc. assis sur le mont avec les verbocas qui jouent. Verboca c’est joli comme nom... verbocas ca a pas de nom en français, c’est juste un tam tam... c ca qui joue dans Alger... la Verboca c’est joli, je veux écouter sur le mont en observant les gens, mais si personne veut venir avec moi j’irai pas parce que toute seule je vais être mal à l’aise et je vais rester couchée a la maison... D. a déjà dit non, mais il a d’autres gens... mais C. aussi a dit presque non, il a peut être un gn... mais j’espère que ca va marcher quand même que quelqu’un va vouloir venir avec mo… même pleins de monde! Des gens d’avant et de maintenant... ce serait amusant!^^ Mmm je pars dans 20 minutes... j’écoute Arthur et c un peu débile comme émission aujourd’hui... mais c’est pas grave je pars bientôt, je veux dormir mais j’ai plus le temps et en plus ma tête voudra pas plus se taire... alors tant pis... je serai fatiguée tantôt. Peut être que si je suis trop fatiguée ma bouche va pas dire a D. que je l’aime et je vais pas le niaiser sans le vouloir... et je me laisserai pas niaiser. Je sais pas je sais plus... je m’excuse... je devrais pas t’écrire tout ca mais j’en avais vraiment besoin... en tant qu’être totalement égoïste ca m’a fait du bien de te confier tout ca... je me relirai juste pas j’ai pas trop le temps je pars dans 5 minutes et c'est compliquer en se moment… Merci pour tout et je vais faire mon possible pour ne pas trop te harceler et je te promets pour la millième fois que je fais tout pour que ma tête et mon cœur se rappellent que je ne t’aime plus... bonne journée ^^

Coucou

Hola everyone! Mon premier message en tant que blogueuse depuis mon secondaire! ahah!^^ Je sais pas trop si quelqu'un va me lire, mais bon! Ca va me faire du bien penser que j'suis pas seule à lire s'que j'écris et que si c'est mauvais quelqu'un va m'en faire part!:P Alors bienvenu sur ce petit blogue sans prétention qui contiendra toutes les parcelles importantes de la vie de Séléné, puisqu'elle écrit toujours tout! Ma vie est un téléroman!