mardi 9 février 2010

Pour toutes les fées...

Pour toutes les fées qui transforment les hommes en fleurs, et tous les hommes qui obligent ces fées à les transformer en fleur... Une petite pensée.
L'homme est une drôle de bête, je trouve. L'homme est vachement étrange. Impossible à comprendre (quand je parle de l'homme, je parle aussi des femmes... Je parle de l'espèce humaine en tant que tel), en tout cas assez difficile à cerner. Je ne sais pas trop où je veux en venir avec ce post... De toute façon je ne sais jamais où je veux en venir quand j'écris. C'est pour ça que je suis incapable d'écrire un roman. Je ne suis pas capable d'écrire quelque chose qui se tienne du début à la fin, je suis trop distraite, je fini toujours par oublier de quoi je parlais au départ. Comme là! Je parlais de la complexité de l'homme avec un grand H. Mais j'ai pas approfondi et je ne le ferai pas puisque je ne sais même plus pourquoi j'ai écris ça. Je voulais parler des fées qui transforment les hommes en fleur. Joli métaphore je trouve... Métaphore ou euphémisme, je ne sais trop.:( Mais bon. Je lis un peu trop de Pennac de ces temps si. Je le trouve génial cet homme. J'aimerais bien le rencontrer un jour, il écrit si bien. Il a encore son imagination d'enfant, comme le Petit Prince. On dirait qu'il n'a jamais vieilli dans sa tête, dans son imagination, quand on lit ses romans. Évidemment, mes préférés sont ceux sur la famille Malaussène, c'est d'ailleurs de l'un d'eux que je tire cette expression de fée qui transforme les hommes en fleurs. «La fée carabine» qu'il s'appelle. Un vieille dame tire dans un policier et l'enfant témoin de la scène, quand il la raconte à son frère, parle de fée qui a transformé un homme en fleur. Quelle innocence! Adorable innocence... Bon! Led zepplin vient de briser ma lancée littéraire sur l'innocence avec «All my love» ^^ Oui, c'est assez pour me déconcentrer! ahah! Je suis comme ça moi, petite Sélé la tête dans la Lune. C'est pas pour rien que je m'appelle Séléné!:P Mais je disais donc, Pennac, ce cher Daniel Pennac que j'aimerais tant rencontrer un jour pour comprendre toute cette cher innocence dans ses romans. Toutes ces choses graves, tel une vieille dame qui tue un policier, ou des bombes qui explosent, transformés en fées, en fleurs, en ogres... En se moment, une chanson de la trame sonore du «Fabuleux destin d'Amélie Poulin» vient de partir. Ça me rend nostalgique. Je ne sais pas de quoi, ni pourquoi, mais ça me rend nostalgique cette musique. Elle me donne à la fois une envie urgente de vivre et d'être le plus heureuse possible, et de pleurer toutes les larmes de mon corps, sans raisons particulières. Ma musique influence plus que beaucoup mes humeurs, mais je crois que c'est comme ça pour tout le monde, j'imagine. Elle influence aussi mon écriture. Je ne prétend d'ailleurs pas bien écrire. Je publie tout cela juste pour me faire croire que quelqu'un me lis et me comprend, je crois... Pour, tout simplement, avoir l'impression d'être moins seule avec moi-même dans ma tête.

1 commentaire:

Johnny Lemonade a dit…

Faut être plus concise dans tes propos, ma fille :P Au mieux, prend juste LA toune qui fitte avec le mood, et mets la en boucle. Ça aide à rester concentré XD

Sinon pour l'être humain. Right. C'est vide en d'dans, sale en dehors. Montréal est penchée, et chu tout croche. I live in a colorless city...